Final Fantasy I-VI Bundle Collection
Plate-forme : PlayStation 4 - Nintendo Switch
Date de sortie : 19 Avril 2023
Résumé | Test Complet | Images | Actualité
Editeur :
Développeur :
Genre :
RPG
Multijoueur :
Non
Jouable via Internet :
Non
Test par

Nic007


8/10

Les jeux qui ont inspiré toute une génération font leur retour dans une version ultime en 2D pixel remaster !

Final Fantasy I.

Cette remastérisation est basée sur la version originale de Final Fantasy parue en 1987 sur Famicom, la NES japonaise. L'histoire débute lorsque quatre jeunes guerriers, chacun possédant un cristal, sont convoqués afin de rétablir l'équilibre harmonieux du monde. Vous allez vite découvrir qu’un sinistre complot pourrait, s’il n’était pas réprimé, avoir comme conséquence la fin de la vie telle que nous la connaissons. Une entité malfaisante a en effet bouleversé la structure du temps afin de prendre le contrôle du monde, ce qui amènera les personnages à voyager dans des mondes qu'ils n'auraient jamais pu imaginer. Les joueurs doivent voyager à travers le monde, visiter des villes et des donjons et battre les hostiles créatures qu’ils rencontrent. Des personnages amicaux croisés en chemin procureront des indices et des informations vitales qui vous aideront dans votre quête. Chaque bataille gagnée ou tâche accomplie par le joueur seront récompensées par des points d’expérience. Lorsque le joueur en obtient suffisamment, son personnage monte de niveau et devient plus puissant. Les joueurs peuvent également améliorer leurs personnages avec de nouveaux et meilleurs objets ou équipement. Final Fantasy dispose du même contenu que la version 8 bits, aussi oubliez tous les changements apportés sur Game Boy Advance puis sur PSP, vous retrouvez le contenu brut de l'époque, mais en français cette fois, mais avec des graphismes et de sons logiquement améliorés. Les graphismes des arrière-plans ont non seulement été revus et corrigés, mais la refonte visuelle tente cette fois de rester aussi fidèle que possible à l'original.

Concrètement, nous sommes devant face à un jeu qui ressemble à un titre 16 bits, mais avec des effets plus aboutis que sur Super Nintendo et des animations supplémentaires. Ce n'est pas le cas des sprites très en deçà de la mouture PSP, sans compter la disparition des portraits des personnages durant la conversation, apparue avec la Game Boy Advance. Bien que le gameplay de Final Fantasy I ne soit pas si différent de celui des remakes les plus récents, la mouture Pixel Remaster a toutefois choisi d'incorporer quelques ajustements. Ainsi, cet opus a vu la suppression d'un point de récolte d'EXP précoce, la fameuse péninsule du pouvoir, tandis que le niveau de difficulté a également été modifié et le jeu est beaucoup plus facile que par le passé. Sans compter la fonction Quicksave qui permet aux joueurs de sauvegarder à tout moment en dehors des combats. La musique nous présente pour sa part la bande originale réarrangée sous la supervision du compositeur Nobuo Uematsu. En revanche, il y a encore des problèmes techniques dans la mouture Remaster, notamment des mauvaises polices de caractères, une absence d'enregistrement et d'une option V-Sync, et même quelques ralentissements lors des déplacements sur la carte du monde.

Final Fantasy II.

Cette nouvelle version de Final Fantasy II s'appuie sur la mouture originale parue en 1988 sur Famicom, la NES japonaise. Quid du scénario cette fois ? Un empereur malveillant a appelé des monstres d'un royaume démoniaque, afin de prendre le contrôle du monde et mettre fin à une paix qui semblait éternelle. Alors que la destruction fait rage, quatre jeunes survivants vont tout faire pour stopper l'invasion et venger la mort de leurs parents. Ainsi il faudra mener les personnages à travers un monde fantastique, visiter des villes, parler avec d’autres protagonistes, mener bataille contre des monstres et faire tout ce qui est en votre pouvoir afin de découvrir le mystère des cristaux. En outre, chaque bataille gagnée ou tâche accomplie par le joueur seront récompensées par des points d’expérience. Lorsque vous en obtenez suffisamment, le personnage monte de niveau et devient plus puissant. Vous pourrez également améliorer vos personnages avec de nouveaux et meilleurs objets ou équipement. Final Fantasy II dispose du même contenu que la version 8 bits, aussi oubliez tous les changements apportés sur Game Boy Advance puis sur PSP, vous retrouvez le contenu brut de l'époque, mais en français cette fois, mais avec des graphismes et de sons logiquement améliorés. Les graphismes des arrière-plans ont non seulement été revus et corrigés, mais la refonte visuelle tente cette fois de rester aussi fidèle que possible à l'original.

Concrètement, nous sommes devant face à un jeu qui ressemble à un titre 16 bits, mais avec des effets plus aboutis que sur Super Nintendo et des animations supplémentaires. Ce n'est pas le cas des sprites très en deçà de la mouture PSP, sans compter la disparition des portraits des personnages durant la conversation, apparue avec la Game Boy Advance. Bien que le gameplay de Final Fantasy II ne soit pas si différent de celui des remakes les plus récents, la mouture Pixel Remaster a toutefois choisi d'incorporer quelques ajustements. Ainsi, Final Fantasy II dispose désormais de jauges qui indiquent au joueur le moment exact où la maîtrise de l'arme va augmenter, tandis que le niveau de difficulté a également été modifié et le jeu est beaucoup plus facile que par le passé. Sans compter la fonction Quicksave qui permet aux joueurs de sauvegarder à tout moment en dehors des combats. La musique nous présente pour sa part la bande originale réarrangée sous la supervision du compositeur Nobuo Uematsu. En revanche, il y a encore des problèmes techniques dans la mouture remaster, notamment des mauvaises polices de caractères, une absence d'enregistrement et d'une option V-Sync, et même quelques ralentissements lors des déplacements sur la carte du monde.

Final Fantasy III.

Protégée par les cristaux de lumière, la Terre autrefois paisible, a été défigurée pour toujours, suite à un important séisme. Le glissement tectonique a rejeté les cristaux dans les profondeurs de la planète, ce qui constitue une menace pour l'équilibre fragile du monde. Il semble que toute espérance soit vaine, mais comme le mentionne la prophétie Gulgan, quatre âmes seront bénies par la lumière, et restaureront l'équilibre du monde. Près du petit village de Ur, le destin guide Luneth devant un cristal doué de parole qui va changer sa vie pour toujours. Alors que la lumière du cristal s’amenuise, Luneth se lance dans l’aventure pour trouver trois autres personnes avec qui partager son destin dans sa recherche des cristaux restants et pour sortir vainqueurs du combat entre la lumière et les ténèbres. Ainsi il faudra mener les personnages à travers un monde fantastique, visiter des villes, parler avec d’autres protagonistes et mener bataille contre des  monstres, de même que faire tout ce qui est en votre pouvoir afin de découvrir le mystère des cristaux. En outre, chaque bataille gagnée ou tâche accomplie par le joueur sera récompensée par des points d’expérience. Lorsque vous en obtenez suffisamment, le personnage monte de niveau et devient plus puissant. Vous pourrez également améliorer vos personnages avec de nouveaux et meilleurs objets ou équipements. Final Fantasy III dispose d’une évolution du système de job introduit dans les titres précédents de la série. Vous pouvez non seulement changer librement de classe et de job, mais en plus certains aptitudes peuvent être apprises et assignées indépendamment de leur job. Le scénario demeure toutefois moins implanté que dans les remakes récents, l'aventure débute directement avec quatre personnages alors que sur DS, seul Luneth était de la partie. De plus, le changement de classe apparaît beaucoup plus rapidement.

En effet, Final Fantasy III fut lancé uniquement en 3D en Europe jusqu'à présent, à l'occasion de la sortie de la Nintendo DS. Cette nouvelle édition est l'adaptation du jeu d'origine paru en 1990 sur Famicom, la NES japonaise, et permet donc de parcourir pour la première fois le jeu en 2D, ce qui est quand même un argument important vis-à-vis des précédents Pixel Remaster. Cependant, Final Fantasy III dispose du même contenu que la version 8 bits, aussi oubliez tous les changements apportés sur DS puis sur PSP, vous retrouvez le contenu brut de l'époque, en français bien sur, mais avec des graphismes et de sons logiquement améliorés. Les graphismes des arrière-plans ont non seulement été revus et corrigés, mais la refonte visuelle tente cette fois de rester aussi fidèle que possible à l'original. Concrètement, nous sommes devant face à un jeu qui ressemble à un titre 16 bits, mais avec des effets plus aboutis que sur Super Nintendo et des animations supplémentaires. Ce n'est pas le cas des sprites très en deçà des épisodes FFI&II PSP. Bien que le gameplay de Final Fantasy III ne soit pas si différent de celui des remakes les plus récents, la mouture Pixel Remaster a toutefois choisi d'incorporer quelques ajustements. Final Fantasy III est celui qui a subi le plus de modifications d'équilibrage des trois jeux Pixel Remaster, mais même avec ces modifications, l'expérience reste assez difficile, obligeant souvent les joueurs à opter pour un alignement de jobs optimal pour certains boss, comme pour le combat contre Garuda. Heureusement, le donjon final n'est pas aussi terrible que dans l'original, grâce à l'ajout d'une fonction Quicksave qui permet aux joueurs de sauvegarder à tout moment en dehors des combats. La musique nous présente pour sa part la bande originale réarrangée sous la supervision du compositeur Nobuo Uematsu. En revanche, il y a encore des problèmes techniques dans la mouture remaster, notamment des mauvaises polices de caractères, une absence d'enregistrement et d'une option V-Sync, et même quelques ralentissements lors des déplacements sur la carte du monde.

Final Fantasy IV.

Final Fantasy IV dispose de toutes les caractéristiques qui firent du jeu un énorme succès lorsqu’il fût lancé aux U.S.A. et au Japon sur Super Nintendo en 1991. Vous endossez le rôle de Cecil, le leader des forces d’élite Red Wings et vous êtes chargé par le roi de recouvrer les plus puissants cristaux élémentaires du monde dans d’autres nations pacifiques, quel qu’en soit le prix. Rapidement écarté suite à votre remise en cause de ces actions, vous allez vite découvrir qu’un sinistre complot pourrait, s’il n’était pas réprimé, avoir comme conséquence la fin de la vie telle que nous la connaissons. Accompagné de votre plus fidèle ami Kain, vous devez vous engager dans une aventure épique qui va littéralement vous entraîner des entrailles de la Terre à la face cachée de la Lune. Les joueurs doivent voyager à travers le monde, visiter des villes et des donjons et battre les hostiles créatures qu’ils rencontrent. Des personnages amicaux rencontrés en chemin procureront des indices et des informations vitales qui aideront Cecil à dévoiler le mystère entourant l’étrange comportement du roi. Chaque bataille gagnée ou tâche accomplie par le joueur seront récompensées par des points d’expérience. Lorsque le joueur en obtient suffisamment, son personnage monte de niveau et devient plus puissant. Les joueurs peuvent également améliorer leurs personnages avec de nouveaux et meilleurs objets ou équipement. Final Fantasy IV dispose du même contenu que la version 16 bits, aussi oubliez tous les changements apportés sur Game Boy Advance, Nintendo DS puis sur PSP, vous retrouvez le contenu brut de l'époque, mais en français cette fois, mais avec des graphismes et de sons logiquement améliorés. Les graphismes des arrière-plans ont non seulement été revus et corrigés, mais la refonte visuelle tente cette fois de rester aussi fidèle que possible à l'original.

Concrètement, nous sommes devant face à un jeu qui ressemble à un titre 16 bits, mais avec des effets plus aboutis que sur Super Nintendo et des animations supplémentaires. Ce n'est pas le cas des sprites très en deçà de la mouture PSP, sans compter la disparition des portraits des personnages durant la conversation, apparue avec la Game Boy Advance. A sa sortie, Final Fantasy IV était assez révolutionnaire, c'était le premier titre de la série à introduire le système dynamique "Active Time Battle", où le temps se déplace même pendant la bataille, donnant aux joueurs un sentiment d'urgence passionnant. Heureusement, nous pouvons toujours choisir de mettre le jeu en pause tout en choisissant des sorts à lancer sur nos cibles. FFIV est également le premier à permettre de contrôler jusqu'à cinq personnages dans son groupe (contre quatre auparavant). Bien que le gameplay de Final Fantasy IV ne soit pas si différent de celui des remakes les plus récents, la mouture Pixel Remaster a toutefois choisi d'incorporer quelques ajustements, notamment une option automatique des combats, une interface plus agréable, tandis que le niveau de difficulté a également été modifié et le jeu est beaucoup plus facile que par le passé. Sans compter la fonction Quicksave qui permet aux joueurs de sauvegarder à tout moment en dehors des combats. La musique nous présente pour sa part la bande originale réarrangée sous la supervision du compositeur Nobuo Uematsu. En revanche, il y a encore des problèmes techniques dans la mouture remaster, notamment des mauvaises polices de caractères, une absence d'enregistrement et d'une option V-Sync, et même quelques ralentissements lors des déplacements sur la carte du monde.

    

Final Fantasy V.

Final Fantasy V combine des nouveaux personnages complexes et héroïques, avec des thèmes familiers et un nouveau scénario à découvrir. Cette nouvelle version de Final Fantasy V s'appuie sur la mouture originale parue en 1992 sur Super Nintendo. Quid du scénario cette fois ? Vous devrez guider Bartz, ainsi que son compagnon Chocobo, la jeune Princesse Lenna, l’amnésique Galuf, et le capitaine des pirates Faris à travers leur monde, afin d’éviter aux quatre cristaux qui contrôlent les éléments du monde, une destruction certaine. Vous devez alors utiliser leurs aptitudes à frayer leur chemin à travers des hordes d’ennemis et de dangers divers, et éviter qu’un diabolique sorcier ne détruise le monde qu’ils connaissent. Ainsi il faudra mener les personnages à travers un monde fantastique, visiter des villes, parler avec d’autres personnages et mener bataille contre des  monstres et faire tout ce qui est en votre pouvoir afin de découvrir le mystère des cristaux. En outre, chaque bataille gagnée ou tâche accomplie par le joueur seront récompensées par des points d’expérience. Lorsque vous en obtenez suffisamment, le personnage monte de niveau et devient plus puissant. Vous pourrez également améliorer vos personnages avec de nouveaux et meilleurs objets ou équipement. Final Fantasy V dispose du même contenu que la version 16 bits, aussi oubliez tous les changements apportés sur Game Boy Advance puis sur mobiles, vous retrouvez le contenu brut de l'époque, mais en français cette fois, mais avec des graphismes et de sons logiquement améliorés. Les graphismes des arrière-plans ont non seulement été revus et corrigés, mais la refonte visuelle tente cette fois de rester aussi fidèle que possible à l'original.

Concrètement, nous sommes devant face à un jeu qui ressemble à un titre 16 bits, mais avec des effets plus aboutis que sur Super Nintendo et des animations supplémentaires. Ce n'est pas le cas des sprites très en deçà des moutures mobiles, sans compter la disparition des portraits des personnages durant la conversation, apparue avec la Game Boy Advance. Bien que le gameplay de Final Fantasy V ne soit pas si différent de celui des remakes les plus récents, la mouture Pixel Remaster a toutefois choisi d'incorporer quelques ajustements, notamment une option automatique des combats, une interface plus agréable, tandis que le niveau de difficulté a également été modifié et le jeu est beaucoup plus facile que par le passé. Sans compter la fonction Quicksave qui permet aux joueurs de sauvegarder à tout moment en dehors des combats. Final Fantasy V dispose aussi d'une évolution du système de job introduit dans les titres précédents de la série. Vous pouvez non seulement changer librement de classe et de job, une caractéristique qui se reflète dans l’apparence physique des personnages, mais en plus certains aptitudes peuvent être apprises et assignées indépendamment de leur job. La musique nous présente pour sa part la bande originale réarrangée sous la supervision du compositeur Nobuo Uematsu. En revanche, il y a encore des problèmes techniques dans la mouture remaster, notamment des mauvaises polices de caractères, une absence d'enregistrement et d'une option V-Sync, et même quelques ralentissements lors des déplacements sur la carte du monde.

Final Fantasy VI.

Final Fantasy VI combine des nouveaux personnages complexes et héroïques, avec des thèmes familiers et un nouveau scénario à découvrir. Cette nouvelle version s'appuie sur la mouture originale parue en 1994 sur Super Nintendo. L’histoire se déroule dans un monde mystérieux, l’Empire Gestahlian, gouverné par un horrible dictateur. « L’Empire » cherche à accroître sa domination sur le monde en bridant le pouvoir des Espers (de puissantes créatures magiques) et en les utilisant comme des armes. Des souverains rivaux menacés, de courageux rebelles ainsi qu’une poignée de marginaux doivent alors unir leurs forces pour empêcher l’Empire de réaliser son plan. Le récit débute avec un chasseur de trésors du nom de Locke et une magicienne amnésique, Terra, tous deux contraints de fuir l’Empire. Au fil de l’aventure, Locke et Terra rencontreront un large éventail de personnages, chacun jouant un rôle crucial dans la libération du monde. Ainsi il faudra mener les personnages à travers un monde fantastique, visiter des villes, parler avec d’autres personnages et mener bataille contre des  monstres et faire tout ce qui est en votre pouvoir afin de découvrir le mystère des cristaux. En outre, chaque bataille gagnée ou tâche accomplie par le joueur seront récompensées par des points d’expérience. Lorsque vous en obtenez suffisamment, le personnage monte de niveau et devient plus puissant. Vous pourrez également améliorer vos personnages avec de nouveaux et meilleurs objets ou équipement. Final Fantasy VI dispose du même contenu que la version 16 bits, aussi oubliez tous les changements apportés sur Game Boy Advance puis sur mobiles, vous retrouvez le contenu brut de l'époque, mais en français cette fois, avec des graphismes et de sons logiquement améliorés. Les graphismes des arrière-plans ont non seulement été revus et corrigés, mais la refonte visuelle tente cette fois de rester aussi fidèle que possible à l'original.

Concrètement, nous sommes devant face à un jeu qui ressemble à un titre 16 bits, mais avec des effets plus aboutis que sur Super Nintendo et des animations supplémentaires. Ce n'est pas le cas des sprites très en deçà des moutures mobiles, sans compter la disparition des portraits des personnages durant la conversation, apparue avec la Game Boy Advance. Bien que le gameplay de Final Fantasy VI ne soit pas si différent de celui des remakes les plus récents, la mouture Pixel Remaster a toutefois choisi d'incorporer quelques ajustements, notamment une option automatique des combats, une interface plus agréable, tandis que le niveau de difficulté a également été modifié et le jeu est beaucoup plus facile que par le passé. Sans compter la fonction Quicksave qui permet aux joueurs de sauvegarder à tout moment en dehors des combats. Final Fantasy VI ne dispose pas du système de job introduit dans les titres précédents de la série. A la place de cela, chaque personnage possède une capacité spéciale liée à son histoire, qu'il pourra utiliser en cas de besoin. Ces pouvoirs, combinés à la constitution de l’équipe, peuvent avoir une grande influence sur l’issue d’un combat. La musique nous présente pour sa part la bande originale réarrangée sous la supervision du compositeur Nobuo Uematsu. En revanche, il y a encore des problèmes techniques dans la mouture remaster, notamment des mauvaises polices de caractères, une absence d'enregistrement et d'une option V-Sync, et même quelques ralentissements lors des déplacements sur la carte du monde.

VERDICT

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Si vous recherchez une version modernisée de Final Fantasy I à VI, ce Pixel Remaster apparaît agréable à jouer et présente un confort de jeu accrue depuis les moutures NES et Super Nintendo, offrant une réalisation "16 bits" colorée et une traduction française adéquat. Ces remasters pixelisés ont peut-être encore besoin d'un peu de polissage pour devenir les versions définitives de Final Fantasy, mais c'est un moyen hautement recommandé de découvrir les épisodes 2D pour la première fois et de revisiter des classiques qui reste aussi frais et actuels qu'au premier jour. En revanche, il demeure toujours aussi regrettable de ne pas pouvoir profiter des changements apportés dans les moutures Game Boy Advance de la plupart des jeux, sans compter l'absence de version physique en grand nombre ...

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