Après un voyage au Québec il y a près de deux ans maintenant, Victor Sackville revient dans ce tome 20 sur le Vieux Continent, où une affaire délicate l'attend. L'histoire prend en effet place en 1918, et la Première Guerre Mondiale n'est pas encore terminée. Le climat est ainsi très pesant, surtout que les services de renseignement Français viennent d'apprendre qu'une nouvelle offensive Allemande était imminente. Voilà qui risque de compliquer la tâche de l'armée, les hommes commençant par manquer. Il faudra donc mêner une enquête rapide pour trouver la cible visée. Et Victor dans tout ça ? Oh, il se retrouve dans les salons feutrés d'un palace romain. Non pas qu'il se repose, mais il est à la recherche d'un certain John West, un spécialiste Anglais du décryptage et la seule personne qui puisse donc pirater le nouveau code Allemand. Comme par hasard, ce dernier est accusé de meurtre le jour de son dpéart. Il y a comme un air de complot, mais Victor n'est pas démotivé pour autant. Il lui reste environ 48 heures pour découvrir la vérité et empêcher un terrible combat.

Une mission qui ne s'annonce pas simple comme à l'accoutumée, car le cadre politique, même à Rome, est pour le moins délicat et l'atmosphère toujours très pesante. Quoiqu'il en soit, la mise en scène est toujours parfaitement règlée et les dessins plein de minutie.