Après vous êtes défait d'un ultime combat, vous voici devenu une élite de la Brigade de la Mort. Retour à la vie de Policier normal donc et les ennuies vont rapidement reprendre, les gags aussi ! Moins surprenant que ces prédécesseurs, ce quatrième opus parle beaucoup. Au centre de l'intrigue les origines de la brigade de la mort, durant la fin de l'ère Edo avec l'ouverture et le début de la modernisation du Japon. 

Ainsi il est question d'histoire, certes quelque peu déformée mais assez intéressante à suivre. Les Etats-Unis en prennent pour leur grade, sur un ton sarcastique, au sujet de leur attitude lors de l'ouverture du pays du Soleil Levant. Bien évidemment la vision historique n'est pas totalement objective, qui aurait pu en douter ?

Dans le temps présent, on ignore ce qu'il est advenu des collègues de Yamabuki, qui sont de moins en moins présent dans les pages de Keishicho 24. Bien sur l'humour est toujours là (même si certaines scènes sentent le déjà vu), et les parodies ne manquent pas d'intérêt, avec la découverte de la brigade de la mort Française, avec un chef qui est le portrait craché de Lady Oscar ("Lady, Lady Oscar, tu vivais sous la révolu-tion", souvenez vous).